𝗖𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗻𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗳 𝗲𝘁 𝗶𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗳 𝗮𝘂𝘅 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗱𝗶𝘀𝗽𝗮𝗿𝘂𝗲𝘀 : 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 é𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝗻𝘂 𝗱’𝘂𝗻𝗲 é𝘁𝘂𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝘁𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁é
Le Secrétaire général du ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions (SG MJDHRI), Harouna KADIO, a présidé, ce mardi 12 mars 2024 à Ouagadougou, la cérémonie d’ouverture d’une rencontre d’échanges.
Cette rencontre, co-organisée avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), représenté par son chef de délégation adjoint, Phillipe Mbonyingingo, a porté sur l’étude de compatibilité commanditée par le CICR. L’étude examine le cadre normatif et institutionnel du Burkina Faso, en matière de disparitions, au regard des normes internationales.
L’objectif de cette rencontre est de discuter des moyens de renforcer le cadre juridique national pour mieux prévenir et gérer les cas de disparitions. Harouna KADIO a souligné l’importance de la mobilisation des participants, reflet de leur engagement envers la protection des droits humains.
Il a rappelé que les disparitions constituent une grave violation des droits humains. « 𝑪’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒒𝒖𝒐𝒊, 𝒍𝒂 𝒑𝒓𝒐𝒕𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒕𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒂𝒓𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒖 𝒄œ𝒖𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒎é𝒄𝒂𝒏𝒊𝒔𝒎𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒕𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕𝒔 𝒉𝒖𝒎𝒂𝒊𝒏𝒔 », a-t-il indiqué.
Le SG a exprimé sa satisfaction quant aux conclusions de l’étude qui a relevé la richesse du cadre juridique national. Il a invité les participants à des échanges francs et ouverts afin de mieux orienter les actions du gouvernement.
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